Qu'est-ce que le BioBased?
Comme leviers actifs du développement durable, diverses entreprises recherchent de manière proactive des alternatives aux matières premières fossiles. Divers producteurs fabriquent de la matière synthétique à base d’amidon, de cellulose, d’acide lactique, etc. Ce faisant, ces entreprises contribuent de manière innovante à la résolution du problème économique et écologique des carburants fossiles et des gaz à effet de serre
Le système de certification s'applique aussi bien aux matériaux de base, aux produits intermédiaires qu'aux produits finis. Egalement à tous les produits solides, liquides et gazeux contenant du carbone, c'est-à-dire une large gamme de produits.
Les fournisseurs et fabricants peuvent utiliser ces certificat et logo pour démontrer qu'ils respectent ces exigences.
OK biobased – NOUVEAU DEPUIS SEPTEMBRE 2009 !
Sous l’effet de la prise de conscience accrue pour l’environnement auprès des clients, les produits basés sur les matières premières renouvelables trouvent des débouchés sans cesse croissants. C’est précisément sous l’effet de cette motivation écologique du client que naît le besoin d’une garantie indépendante et de qualité du caractère renouvelable des matières premières. Le label “OK biobased” apporte la réponse à ce besoin.
Contrairement au LCA (Life Cycle Assessment), la méthode de recherche sous-jacente au label OK biobased est très simple et permet de mesurer et calculer scientifiquement la valeur exacte de la partie renouvelable. Ceci rend le contrôle très transparent et permet en outre de comparer parfaitement les produits.
Sur base du taux en matières premières renouvelables constaté (% Biobased), votre produit peut être certifié ‘biobased une étoile’, ‘biobased deux étoiles’, ‘biobased trois étoiles’ ou ‘biobased quatre étoiles’.
La maîtrise de nos émissions de CO2 est un enjeu capital pour notre avenir.
Cette maîtrise devra se traduire par une réduction de nos émissions ainsi que par la modification de la nature de ces émissions.
Le carbone jeune et le carbone vieux:
quelle est la différence?
Pour mieux comprendre la nature de cet enjeu, voici quelques explications quant aux phénomènes mis en concurrence dans la nature.
Les feuilles des arbres qui tombent à l’automne émettent, en se biodégradant, du CO2, qui a été absorbé au printemps précédant par l’arbre pour croître et produire ces feuilles. Ce cycle émission / absorption de CO2 existe depuis la nuit des temps et n’a que très peu d’effet sur le niveau moyen de CO2 présent dans l’atmosphère. Le «C» du CO2 représente le carbone et dans ce cas-ci,on parle de carbone «jeune» ou contemporain.
Par contre, toute émission de CO2 provenant de la combustion de ressources fossiles (pétrole, gaz, plastiques) entraîne systématiquement une augmentation
de la quantité moyenne de CO2 car elle n’est pas compensée par une augmentation de la capacité de notre planète à absorber cet excédent de CO2
C’est cette augmentation systématique et continue qui pose problème.
Il s’agit d’un cycle très long, puisqu’il a fallu des millions d’années entre l’absorption et l’émission de CO2
Le carbone est ici appelé «vieux» ou fossile.
Quelle place réserve ton aux biomatériaux?
Depuis quelques années, de nombreuses sociétés commercialisent des biomatériaux fabriqués partiellement ou totalement à partir de carbone jeune, d’origine végétale. Le CO2 produit en fin de vie du biomatériau (par biodégradation ou incinération) correspond à celui qui a été absorbé par les végétaux dont est issu ce biomatériau. Ce cycle reste court, même s’il peut s’étaler sur quelques années, le temps que le biomatériau remplisse sa fonction (sac, couvert, composant de voiture ou de machine à laver) et soit ensuite détruit. Harmonisation des nombreuses déclarations L’absence de normes européennes relatives à la méthodologie d’essai, ainsi qu’aux allégations, conduit à une multitude de déclarations difficiles à comparer. Afin de remédier à cette situation, Vinçotte a développé un outil d’évaluation qui permet de determiner defaçon harmonisée, précise et reproductible la part de carbone «jeune» et de carbone «vieux». Et ceci tant pour les matériaux de base que pour les produits finis.
Le logo OK biobased: le message clair et simple du TUV-AUSTRIA
Si des valeurs précises, reprises sur un certificat, sont indispensables dans le cadre d’une relation «Business to Business»(B2B), legrand public a, quant à lui, besoin d’un message clair et simple à comprendre.
Cette communication « Business to Consumer»(B2C)s’appuie sur un logo muni d’une à quatre étoiles. Au plus d’étoiles, au plus haut le contenu de carbone jeune. Dans certains cas, le pourcentage biobased pourra être affiché.
La certification OK biobased : l’approche claire et simple du TUV-AUSTRIA
L’évaluation des matières de base se fera par une série d’analyses visant à déterminer le taux de carbone jeune et la part de carbone organique.
L’évaluation de produits finis mettant en œuvre des matières de base certifiées se fera par calcul, et validé par une mesure de confirmation.
Le système de certification s'applique aussi bien aux matériaux de base, aux produits intermédiaires qu'aux produits finis. Egalement à tous les produits solides, liquides et gazeux contenant du carbone, c'est-à-dire une large gamme de produits.
Les fournisseurs et fabricants peuvent utiliser ces certificat et logo pour démontrer qu'ils respectent ces exigences.
OK biobased – NOUVEAU DEPUIS SEPTEMBRE 2009 !
Sous l’effet de la prise de conscience accrue pour l’environnement auprès des clients, les produits basés sur les matières premières renouvelables trouvent des débouchés sans cesse croissants. C’est précisément sous l’effet de cette motivation écologique du client que naît le besoin d’une garantie indépendante et de qualité du caractère renouvelable des matières premières. Le label “OK biobased” apporte la réponse à ce besoin.
Contrairement au LCA (Life Cycle Assessment), la méthode de recherche sous-jacente au label OK biobased est très simple et permet de mesurer et calculer scientifiquement la valeur exacte de la partie renouvelable. Ceci rend le contrôle très transparent et permet en outre de comparer parfaitement les produits.
Sur base du taux en matières premières renouvelables constaté (% Biobased), votre produit peut être certifié ‘biobased une étoile’, ‘biobased deux étoiles’, ‘biobased trois étoiles’ ou ‘biobased quatre étoiles’.
La maîtrise de nos émissions de CO2 est un enjeu capital pour notre avenir.
Cette maîtrise devra se traduire par une réduction de nos émissions ainsi que par la modification de la nature de ces émissions.
Le carbone jeune et le carbone vieux:
quelle est la différence?
Pour mieux comprendre la nature de cet enjeu, voici quelques explications quant aux phénomènes mis en concurrence dans la nature.
Les feuilles des arbres qui tombent à l’automne émettent, en se biodégradant, du CO2, qui a été absorbé au printemps précédant par l’arbre pour croître et produire ces feuilles. Ce cycle émission / absorption de CO2 existe depuis la nuit des temps et n’a que très peu d’effet sur le niveau moyen de CO2 présent dans l’atmosphère. Le «C» du CO2 représente le carbone et dans ce cas-ci,on parle de carbone «jeune» ou contemporain.
Par contre, toute émission de CO2 provenant de la combustion de ressources fossiles (pétrole, gaz, plastiques) entraîne systématiquement une augmentation
de la quantité moyenne de CO2 car elle n’est pas compensée par une augmentation de la capacité de notre planète à absorber cet excédent de CO2
C’est cette augmentation systématique et continue qui pose problème.
Il s’agit d’un cycle très long, puisqu’il a fallu des millions d’années entre l’absorption et l’émission de CO2
Le carbone est ici appelé «vieux» ou fossile.
Quelle place réserve ton aux biomatériaux?
Depuis quelques années, de nombreuses sociétés commercialisent des biomatériaux fabriqués partiellement ou totalement à partir de carbone jeune, d’origine végétale. Le CO2 produit en fin de vie du biomatériau (par biodégradation ou incinération) correspond à celui qui a été absorbé par les végétaux dont est issu ce biomatériau. Ce cycle reste court, même s’il peut s’étaler sur quelques années, le temps que le biomatériau remplisse sa fonction (sac, couvert, composant de voiture ou de machine à laver) et soit ensuite détruit. Harmonisation des nombreuses déclarations L’absence de normes européennes relatives à la méthodologie d’essai, ainsi qu’aux allégations, conduit à une multitude de déclarations difficiles à comparer. Afin de remédier à cette situation, Vinçotte a développé un outil d’évaluation qui permet de determiner defaçon harmonisée, précise et reproductible la part de carbone «jeune» et de carbone «vieux». Et ceci tant pour les matériaux de base que pour les produits finis.
Le logo OK biobased: le message clair et simple du TUV-AUSTRIA
Si des valeurs précises, reprises sur un certificat, sont indispensables dans le cadre d’une relation «Business to Business»(B2B), legrand public a, quant à lui, besoin d’un message clair et simple à comprendre.
Cette communication « Business to Consumer»(B2C)s’appuie sur un logo muni d’une à quatre étoiles. Au plus d’étoiles, au plus haut le contenu de carbone jeune. Dans certains cas, le pourcentage biobased pourra être affiché.
La certification OK biobased : l’approche claire et simple du TUV-AUSTRIA
L’évaluation des matières de base se fera par une série d’analyses visant à déterminer le taux de carbone jeune et la part de carbone organique.
L’évaluation de produits finis mettant en œuvre des matières de base certifiées se fera par calcul, et validé par une mesure de confirmation.